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Adriana Karembeu est habituellement très discrète sur sa vie privée. Le 30 mai dernier, l’animatrice a décidé de lever le voile sur son expérience en tant que personne à Haut Potentiel Intellectuel (HPI). Sans filtre, elle confie comment être diagnostiqué HPI peut parfois lui compliquer la vie.
Adriana Karembeu : une mannequin slovaque francophone
Adriana Karembeu est une mannequin slovaque connue pour avoir les jambes les plus longues du monde de la mode. Née en 1971, l’ancienne épouse de Christian Karembeu a fait des études en médecine à Prague avant de devenir mannequin. Après des années dans cet univers, elle devient l’égérie de la marque de lingerie Wonderbra.
Au cours de sa carrière, elle a profité de sa notoriété pour soutenir des causes humanitaires. Les engagements d’Adriana Karembeu lui valent le statut d’Ambassadrice slovaque dans le monde.
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En 2005, la jolie blonde s’est lancée dans les affaires et crée sa gamme de cosmétiques. 3 ans plus tard, elle devient l’égérie de la chaîne d’opticiens Atol. Elle devient ensuite l’ambassadrice du football féminin pour la Fédération française de football (FFF).
Adriana Karembeu est aussi connue pour ses apparitions à la télévision en tant qu’animatrice. Elle a notamment présenté des programmes populaires comme « Tops Models » ou « Les pouvoirs extraordinaires du corps humain ». Elle a aussi participé dans des émissions comme « Danse avec les stars » et « Pékin Express ».
En 2014, la vie quotidienne d’Adriana Karembeu a changé après qu’elle ait effectué un test de QI. Dans « Les pouvoirs extraordinaires du corps humain » l’ex-mannequin a été diagnostiquée HPI. Ce statut semble bien à première vue, mais il comporte des complications pour la principale intéressée. Des difficultés qu’elle a évoquées le 30 mai dernier.
Les difficultés d’être HPI
Mardi 30 mai, Adriana Karembeu était invitée dans « C à vous ». Au cours des échanges, l’ancienne épouse de Christian Karembeu s’est ouverte sur son expérience en tant que HPI.
À croire les propos de l’animatrice de 51 ans, ce statut n’est pas une bénédiction sans contrepartie. L’ambassadrice de la Croix-Rouge a fait savoir qu’elle en avait marre de devoir prouver sa valeur.
« Je n’ai pas ce combat. Je faisais mon métier, je le faisais bien et j’étais contente. Même si je n’avais pas ce Q.I élevé, et alors ? Pourquoi faut-il se battre et toujours prouver quelque chose ? C’est ça qui me dérangeait le plus », a-t-elle confié dans « C à vous ».
Adriana Karembeu n’a pas hésité à expliquer à quel point être HPI peut être désagréable. Elle avait répondu à un commentaire de Jean-Pascal Zadi, également invité dans l’émission de C8. Alors que l’acteur avait lancé qu’être HPI devait être « bien », l’animatrice a donné une réponse inattendue.
« C’est chiant. Parce que c’est compliqué », a-t-elle exclamé.
Cet échange avec Adriana Karembeu a permis d’en savoir plus sur les difficultés que peuvent rencontrer les personnes surdouées. La discussion mène aussi à penser à Michel Cymes, son coéquipier dans « Les pouvoirs extraordinaires du corps humain ».
Pour rappel, l’animateur a aussi été diagnostiqué TDAH-HP, qu’il a révélé lors d’un entretien avec Télé Star le 10 octobre 2022. En plus d’être haut potentiel, une personne TDAH-HP est aussi hyperactive.
Tomber enceinte à 46 ans
Pour ce qui est d’Adriana Karembeu, l’animatrice doit gérer ces difficultés de femme surdouée tout en élevant sa fille. Après son divorce avec l’arménien Aram Ohanian, elle élève seule sa fille Nina née en 2018 alors qu’elle avait 46 ans.
Dans une récente interview diffusée sur France 2, l’animatrice télévision est revenue sur la grossesse tardive. Adriana Karembeu a notamment parlé de la difficulté de tomber enceinte après les 40 ans.
« Il y a énormément de femmes qui m’écrivent et qui me disent qu’elles veulent faire comme moi, mais c’est extrêmement compliqué (…) quand on veut attendre et faire un enfant plus tard non à l’âge 40 ans vous avez la chance de tomber enceinte de 7 % donc mon conseil, n’attendez pas ! », a confié Adriana Karembeu à Léa Salamé dans « Quelle Époque ».
Dans une interview datant de juillet 2022, la maman de Nina avait avoué avoir fait plusieurs fausses-couches auparavant. Elle raconte alors son expérience en décrivant le chemin qu’elle a traversé comme :
« horriblement compliqué, psychologiquement et physiquement ».
