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Franck Dubosc connaît sans aucun doute une réussite fulgurante au cinéma. Avec des films à sensation comme « 10 jours encore sans maman » et cinq autres projets à venir, l’acteur jongle entre ses engagements professionnels et sa vie familiale.
Malgré ses succès au grand écran, il ne cache pas les difficultés d’être séparé de sa femme et ses deux enfants. À travers une émouvante publication du 2 juin sur Instagram, Franck Dubosc exprime le poids de cette absence dans son quotidien.
Franck Dubosc exprime sa nostalgie familiale
La carrière d’artiste offre des avantages indéniables, mais elle se rattache à plusieurs contraintes. C’est le cas de la culpabilité d’être absent pour ses enfants, un sentiment partagé par de nombreux artistes. Récemment, Franck Dubosc a abordé ce sujet.
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L’acteur de 59 ans a évoqué son souhait de vouloir passer plus de temps avec sa famille. En tant qu’humoriste et comédien, Franck Dubosc mène une vie trépidante. Il enchaîne les spectacles et les tournages en France et à l’étranger.
Cependant, il ressent un manque envers sa famille, comme en témoigne sa publication du 2 juin dernier sur Instagram. Il a partagé une photo de sa femme Danièle, entourée de leurs enfants, Raphaël et Milhan, tous ensemble dans une piscine.
En légende, on pouvait lire :
« Loin de Paris depuis trop longtemps, ma famille me manque… »
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Sa publication inattendue a suscité l’émotion parmi ses nombreux abonnés. Les réactions chaleureuses ne se sont pas fait attendre, exprimant des messages d’affection et d’encouragement :
« Et c’est certainement réciproque… », « Les retrouvailles ne seront que plus belles », « Profitez bien de votre famille. »
Ces commentaires réconfortants devraient apporter du réconfort à Franck Dubosc.
Franck Dubosc : un véritable papa poule
Franck Dubosc se montre discret sur sa vie de famille. Bien qu’il ne dissimule pas sa complicité avec sa femme Danièle, il partage rarement les photos de ses enfants. Il veille toujours à ce que leur visage reste caché.
Au cours d’une interview, il a confié que ses enfants le percevaient parfois comme ringard, notamment sur ses occupations.
« Ils ne s’intéressent pas à ce que je fais. Ils n’ont jamais vu Camping 1, par exemple. Ils ont vu le 2 et le 3. Le grand a vu le 2 parce qu’il était né. Le petit a vu le 3, » a-t-il déclaré.
Malgré cela, Franck Dubosc fait en sorte d’emmener ses fils aux avant-premières des films appropriés à leur âge. Il établit cependant des restrictions sur ce qu’il choisit de leur montrer.
« Un film où je ne vais pas les emmener c’est celui où je tourne avec Karin Viard parce que c’est un film qui serait tout public mais je suis en couple avec Karin et on s’embrasse, on… Donc ça ils n’aiment pas. Ça, eux, ça ne va pas. Mais sinon non ils ne voient pas mes films spécialement. Certains. Parfois ils me disent ‘oui, on l’a vu avec des copains’. Mais eux, ils ne sont pas fans ! »
Est-il un bon père dans la vraie vie ?
Franck Dubosc incarne souvent des rôles de père peu préoccupé par sa parentalité. Comme dans « Camping », « Tout le monde debout » et surtout « 10 jours sans maman ». Cela dit, en dépit de ces rôles, l’acteur s’investit pleinement dans son rôle de papa.
Il admet néanmoins ressembler à son personnage de père dépassé lorsque son épouse s’absente et le laisse seul avec leurs enfants. D’ailleurs, il est rare qu’il accorde une interview sans mentionner ses deux fils, Raphaël et Milhan, nés respectivement en 2010 et 2012.
Il alterne souvent entre l’aveu de son manque d’autorité envers ses enfants et l’expression de sa tendresse lorsqu’il partage des moments privilégiés avec eux. Lors d’une interview animée par Guillaume Pley, Franck Dubosc a été interrogé sur sa perception de sa propre paternité.
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L’acteur estime être un bon père. Il fait notamment référence à sa capacité à supporter un trajet de six heures en écoutant le rap de son fils. Le réalisateur explore la thématique de l’abandon dans son film « Rumba la vie » en se basant sur sa propre culpabilité.
Ce sentiment lui gêne toujours lorsqu’il doit s’absenter pour ses projets cinématographiques. Selon Franck Dubosc, cette réalité fait partie intégrante de chaque tournage.