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Stéphane Bern a choisi de vivre autrement. Il a quitté Paris et sa vie trépidante pour s’installer dans le Perche avec Yori, son amoureux. L’air frais et la nature l’ont séduit. Il a même déjà prévu son lieu de repos éternel.
Stéphane Bern quitte Paris
Stéphane Bern a trouvé sa nouvelle demeure dans le Perche, un ancien collège royal à Thiron-Gardais. Il y vit avec son époux Yori et ses deux teckels, loin du tumulte parisien. Il a même choisi cet endroit pour y reposer pour toujours.
Le comédien affirme :
« Je serai enterré ici ! ».
La région a conquis le cœur de Stéphane Bern, qui voulait une vie plus paisible et plus zen. Il a pris en charge la rénovation complète de sa maison.
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Un projet pharaonique qui lui a coûté très cher, mais qui touche bientôt à sa fin :
« C’est une vraie PME qui emploie six personnes… et un chantier dont on ne voit jamais le bout. »
Stéphane Bern avait le cœur lourd quand il vivait à Paris. Sa vie effrénée l’avait épuisé, et la ville avait perdu son charme d’autrefois.
Le présentateur déclare dans les colonnes du Parisien :
« Paris est devenu une poubelle où les gens se débarrassent de tout, n’importe où et n’importe comment. Où est passée la Ville Lumière ? J’y vis depuis mes 10 ans, et je n’en peux plus ».
Il vit maintenant différemment. Ce changement radical lui plaît beaucoup.
Heureux l’animateur affirme :
« Quand on se reçoit à dîner, ce n’est pas comme à Paris, où c’est à celui qui arrivera le plus tard pour jouer l’important. On prend l’apéritif à 19 heures, on se met à table à 20 heures et à 22 h 30, on se dit au revoir. Je peux me coucher et me lever beaucoup plus tôt ».
Il a déjà tout prévu pour son futur tombeau
Le spécialiste des familles royales aime tellement sa nouvelle région qu’il veut y être enterré. Il déclare au magazine Gala :
« J’ai tout prévu ».
Le passionné d’histoire continue avec :
« Comme le Collège royal reviendra après moi à la Fondation Stéphane Bern pour l’Histoire et le Patrimoine, ce ne sera plus une résidence privée. J’ai donc obtenu du préfet l’autorisation d’y avoir mon tombeau ».
Avec son humour et son impertinence, il ajoute :
« Dès que je l’ai eue, de peur qu’il y ait un contrordre, je me suis dit : “Creusons tout de suite”. Tout est donc déjà prêt… mais rien ne presse. Je ne suis pas Sarah Bernhardt, je ne dors pas encore dans mon cercueil ! ».
Stéphane Bern se confie sur le prix fou de sa demeure dans le Perche
Stéphane Bern ne chôme pas. L’animateur vedette de France Télévision et Europe 1, qui s’est aussi révélé comme comédien, se lance dans l’édition et sort « La vie retrouvée d’un collège royal », où il raconte les secrets de sa splendide demeure du Perche. Il y a quelques années, il a acheté ce magnifique château où il vit maintenant avec son compagnon Yori.
Mais la rénovation du domaine a duré longtemps et surtout a coûté cher ! Quelle aventure pour Stéphane Bern !
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Le comédien confie à France Dimanche qu’il n’a pas vraiment réfléchi avant d’acheter ce joyau immobilier :
« C’est plus que le hasard puisque c’est le président du département, un ami du producteur de “Secret d’Histoire”, Jean-Louis Rémillieux, qui lui a parlé du Collège royal de Thiron-Gardais. Ce dernier lui a alors parlé de moi et, en le visitant, j’ai eu un vrai coup de cœur. Et c’est ainsi que je l’ai racheté au prix d’un studio de 20 m2 à Paris ».
Stéphane Bern a surtout découvert un puits sans fond : ce qui lui paraissait une bonne affaire.
Le présentateur assure :
« C’était une ruine ! Cela ne se voyait pas trop de l’extérieur, mais il fallait tout refaire à l’intérieur. Sans compter qu’on a eu tous les problèmes, notamment la mérule qui rongeait la charpente. Si bien que c’est devenu un chantier pharaonique qui m’a un peu mis sur la paille ».
Sans vouloir se plaindre, l’animateur avoue qu’il s’est endetté sérieusement :
« J’exagère un peu car ce sont les banques qui ont payé, mais cela m’oblige à travailler au-delà de 67 ans pour rembourser tout ça ! Mais ma grande fierté est d’avoir refusé toutes les aides publiques. Je n’ai bénéficié d’aucune subvention pour les travaux. En tant qu’animateur sur le service public, je ne pouvais pas me le permettre ».
Malgré quelques moments de découragement, il ne l’échangerait pour rien au monde : l’animateur a fait un investissement qui en valait la peine.