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Victime d’un AVC en avril dernier, Julien, ex-candidat de « L’amour est dans le pré », va devoir subir une opération du cœur. Auprès de Gala, il s’est confié sur cette étape qu’il redoute, mais qui s’avère nécessaire.
Julien de « L’amour est dans le pré », son AVC
Un accident vasculaire cérébral a conduit Julien, candidat de la saison 3 de « L’amour est dans le pré », à l’hôpital il y a deux mois.
Son épouse Floriane rapporte :
« Il fait donc un AVC dans le cervelet droit. Zone très risquée car petite. Il ne faut surtout pas que ça grossisse, surtout chez les jeunes patients comme lui. Il a également à cet endroit toutes les facultés motrices ».
Pour rappel, les réseaux sociaux leur ont permis de se rencontrer pendant l’émission de dating de M6.
Sa femme, leur fille Lina et d’anciens participants de l’émission soutiennent Julien qui se remet doucement de cet accident. Il indique à Purepeople le 23 mai dernier qu’un « traitement qui est assez costaud pour fluidifier le sang » était nécessaire.
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Sa femme qui se sentait très seule dans cette épreuve ajoute :
« Il n’a plus le droit de porter des trucs lourds pour le moment, donc c’est moi qui fais les travaux. Débroussailler, tondre, porter les courses, mettre la remorque devant la voiture… On a plus de 3000 mètres carrés à gérer donc j’ai énormément de boulot, en plus de mon métier d’assistante maternelle ».
Julien risque de faire un infarctus ou un autre AVC
Julien n’a pas fini avec les soucis de santé. Il révèle à Gala qu’il subira une opération du cœur le 6 juillet. L’ancien candidat avoue qu’il est « content d’avoir eu une date aussi rapidement ». Il se sent « inquiet » face à cette étape, même si elle est « nécessaire ».
Il explique :
« Même si aujourd’hui ils font des miracles, ça reste toujours une source d’angoisse. Surtout quand c’est au niveau du cœur ».
Tout en ajoutant :
« Ne pas le faire est un risque d’infarctus ou d’un autre AVC. Elle est essentielle donc, on ne se pose pas trop de questions ».
Julien dévoile les séquelles de son AVC :
« J’ai uniquement des acouphènes et de la fatigue par moment. C’est assez déstabilisant, mais c’est assez typique après un AVC selon les neurologues ».
Son épouse, qui le surveille comme « un faucon sur son mulot », l’épaulera là encore pendant cinq ans. Il devra suivre son traitement pour fluidifier le sang.
Un autre ancien candidat de « ADP » atteint d’une maladie génétique
Mathieu Ceschin a dévoilé son visage aux téléspectateurs de M6 lors de la 15e saison de l’émission « L’amour est dans le pré ». Il fait ainsi ses débuts à la télévision. Il a rencontré Alexandre, l’un de ses prétendants, et ils sont tombés amoureux durant cette édition. Ils ont choisi de continuer leur relation et ont ensemble de grands projets d’avenir.
Les anciens participants de « L’amour est dans le pré » ont emménagé ensemble et ont envisagés de fonder leur propre famille grâce à la GPA. Mais le couple a finalement rompu, et Alexandre l’a annoncé publiquement sur son compte Instagram. Julien
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Mathieu s’explique dans l’émission « Chez Jordan » sur C8 :
« Aujourd’hui, on se sépare, d’un commun accord. Bon, on s’appelle tous les jours. On a vécu deux années extraordinaires, vraiment. On a fait beaucoup de voyages. Mais à un moment, Alexandre a eu du mal à trouver sa place. Je crois qu’il avait besoin d’une vie plus tranquille, moins turbulente. Il avait envie d’être stable, une vie plus classique ».
Mathieu Ceschin évoque sa maladie de Cadasil. Il a partagé ses craintes concernant son espérance de vie. Tout ça dans une interview ultérieure sur le plateau de l’émission présentée par Sam Zirah le 17 février 2023.
L’ancien participant de « L’amour est dans le pré » déclare :
« C’est une maladie très évolutive. Mon père en est mort l’année dernière. Et moi, depuis qu’on me l’a découvert, elle n’a pas du tout évolué. Je me suis construit un beau bouclier. Je vis une vie où je n’ai plus de contraintes, plus de stress. Je ne vis que ce que j’ai envie de vivre. Je vis complètement librement. C’est la meilleure façon de lutter contre une maladie. J’ai la chance d’avoir une famille, notamment une sœur avec laquelle je suis très fusionnelle. Si un jour, il m’arrive quelque chose, ma sœur prendra le relais. C’est clair, simple et net. Tout sera organisé pour ça. C’est pas écrit que je vais mourir demain. Rien n’est écrit. Il faut continuer et avancer ».