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Ces derniers temps, Loana Petrucciani ne cesse de faire parler d’elle. Il faut dire qu’avant se lancer dans son dernier déménagement, elle a fait un saut par le Festival de Cannes. Mais si elle tente de sauver les apparences, elles traversent aussi de rudes épreuves. En effet, le grand public la perçoit toujours comme une bimbo des années 2000. Pourtant, avant de remporter la première saison de Loft story, elle avait déjà une histoire familiale compliquée. Malgré ce passé douloureux, elle aime garder quelques souvenirs heureux de son enfance. Aussi, lorsqu’elle a appris le décès de son père, elle a ressenti beaucoup de peine.
La disparition de son père l’a touchée
Loana a accepté d’évoquer leur relation en détails, dans un entretien paru dans Voici. Elle révèle ainsi qu’elle avait finalement repris des nouvelles de son père au cours des deux dernières années. Néanmoins, leurs échanges se limitaient à des coups de fil ou à des messages. Et pour cause : l’homme avait de nombreux ennuis de santé. Aussi, il ne souhaitait pas que sa fille puisse le découvrir dans un tel état.
« J’avais repris contact depuis deux ans avec lui. Il ne voulait pas me voir, et je respecte son choix. »
En surpoids et malvoyant, le père de Loana préférait lui laisser l’image d’une personne bien portante, pour ne pas l’attrister.
« Il ne voulait pas me voir parce qu’il ne voulait pas que je le voie dans l’état où il était. Il était très malade, quasiment aveugle et il avait pris du poids. Il m’a dit : ‘Je veux que tu gardes de moi l’image que tu avais’. Je ne l’ai pas revu depuis et ça m’a choquée. »
Sur les réseaux sociaux, la starlette avait déjà évoqué la disparition de son père ces derniers jours, sans donner de date précise. Très affectée par ce deuil, elle n’a toutefois pas fait le déplacement pour assister à ses obsèques. Un choix que Loana justifie, en évoquant son chagrin, et sa difficulté à faire face à la réalité de cette disparition.
« Je n’y suis pas allée parce que ça concrétisait. Pour moi, il est toujours là. S’il n’a pas voulu que j’aille le voir, je ne veux pas le voir en tant que mort. »
Cela dit, la vedette assure qu’elle avait renoncé à toute rancœur envers son papa. Avant qu’il ne succombe, ils arrivaient à avoir des discussions affectueuses. Tirant un trait sur le passé, elle préférait garder en mémoire les bons moments vécus avec lui dans son enfance.
« Moi, j’avais effacé l’ardoise. Je garde ce souvenir de mon papa qui était fantastique. J’avais un papa formidable et j’ai envie de me souvenir de ça. »
Loana, victime de violences intrafamiliales
Avant de se lancer à la télévision, la belle blonde n’avait pas forcément eu une jeunesse facile. En effet, lorsque ses parents vivaient encore ensemble, son père n’hésitait pas à frapper sa mère. Une situation dramatique, dont Loana se souvient à peine, tant elle était jeune. Mais sa maman, Violette, n’a pas oublié. D’ailleurs, elle en a longtemps voulu à son ex-conjoint pour toute cette violence.
Pourtant, au cours des derniers mois, elle avait fini par passer l’éponge sur ce triste passé. À Loana, elle aurait déclaré avoir longtemps souhaité la mort de son papa. Mais les années passant, elle avait fini par pardonner, pour, elle aussi, se concentrer sur le positif.
« Elle voulait vraiment sa mort. Mais depuis plus d’un an, elle me racontait des beaux souvenirs et elle m’a dit qu’elle n’était plus à ce stade-là. », confesse Loana à propos de sa maman.
Aussi, elle avait chaleureusement salué sa fille, grâce à qui elle a pu prendre du recul au sujet de son ex-mari.
« Il l’a battue, elle s’en souvient, mais moi très peu. Elle m’a dit : ‘Tu m’as permis de tourner la page », déclare Loana.
Cependant, en tant que petite fille, l’ancienne lofteuse a elle aussi subi les accès de violences de son papa. Dans un livre, paru en 2021, elle expliquait même que ces épisodes de brutalité avaient souvent lieu en l’absence de sa maman. Des moments difficiles, que la fillette essayait de surmonter en souffrant le moins possible.
« C’était compliqué quand même… Quand ma mère n’était pas là, mon père me tapait la tête contre les carreaux de la cuisine pour que je fasse la vaisselle. C’était très violent. […] Ce n’est pas des choses dont on a envie de se rappeler en fait. J’ai quelques flashs mais quand je me dis que ça a duré des mois ! Je pense que quand j’arrivais à la maison, je me mettais sur un mode : ‘Il me fait ce qu’il veut et puis après j’oublie. »