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Ségolène Royal animera une séquence politique sur le plateau de Touche pas à mon poste, le 14 septembre. Cyril Hanouna a collaboré avec elle pour cette première. Cette collaboration pourrait se répéter à l’avenir et pourrait être rentable pour la femme politique.
Ségolène Royal dans TPMP
Ségolène Royal, ex-figure du PS et battue à la présidentielle de 2007, a fait une annonce surprenante et très attendue pour le Mercato télé. Elle va devenir chroniqueuse politique chez Cyril Hanouna dans Touche pas à mon poste !.
L’ex-compagne de François Hollande va aborder un sujet difficile pour sa première chronique politique chez Cyril Hanouna dans TPMP ! Elle révèle sur X (ex-Twitter) qu’elle parlerait des agressions sexuelles sur les enfants et les adolescents. Le tout pendant une séquence de vingt minutes environ.
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Cyril Hanouna a confié sur FranceInfo, le 31 août dernier, comment la femme politique Ségolène Royal a rejoint son équipe. Il a expliqué qu’elle l’avait rappelé après son passage sur son plateau pour lui proposer de collaborer avec lui à l’avenir.
La rémunération de la femme politique Ségolène Royal pour ses chroniques dans l’émission de Cyril Hanouna a été révélée par l’animateur sur FranceInfo, le 31 août dernier. Il a admis, après avoir hésité, que Ségolène Royal toucherait entre 300 et 500 euros par émission.
Une somme qui n’est pas si importante vu ce que touchent les autres chroniqueurs.
TPMP : combien gagnent les chroniqueurs ?
Les chroniqueurs de Touche pas à mon poste ont révélé leurs salaires en 2019. Ils ont d’abord répondu à un questionnaire du magazine Télé 2 semaines, puis ils ont confirmé les chiffres à la télévision. Le public a découvert que Jean-Michel Maire gagnait 700 euros par émission, et que Gilles Verdez, son complice, avait 100 euros de moins.
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Valérie Bénaïm recevait près de 1 200 euros par émission, c’était la plus payée. Benjamin Castaldi, qui a quitté l’équipe depuis, facturait jusqu’à 4 000 euros pour un prime, c’était un membre important.
Moundir, le célèbre aventurier de la télé, a révélé son salaire sur le plateau de Jordan De Luxe, ce lundi 11 septembre. Selon ses dires, il gagne 1 000 euros par émission.
Ségolène Royal, son avis sur les moqueries
Bref, Ségolène Royal passe de la politique à la télé. Elle a presque 70 ans, mais elle ne pense pas à la retraite. Elle raconte son parcours dans Soirmag, à sa rentrée dans Touche pas à mon poste. Ségolène Royal a connu des succès et des épreuves, comme des critiques, des moqueries et des intimidations.
La femme politique déclare :
« Je n’ai jamais baissé les bras. Je rencontre beaucoup de femmes qui me disent : “Vous avez été un exemple”. Il ne faut jamais se décourager, continuer d’agir pour ce en quoi l’on croit sans se dévaloriser ».
Ségolène Royal déplore que les femmes se sentent « des intrus » et se sous-estiment « trop souvent ». Elle les encourage alors à « prendre leur place, ni plus, ni moins ».
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L’ancienne candidate à la présidentielle de 2007 dit qu’elle souffre « de moins en moins de moqueries et de mépris ». Il y a seulement « quelques individus isolés, toujours les mêmes », qui la critiquent.
Elle a raconté les commentaires désobligeants, souvent sexistes, qu’elle avait subis. C’était lors d’une interview pour le podcast Parents d’abord, de Télé-Loisirs, en décembre 2020 :
« On m’a traitée de mère fouettarde, on a dit : “Qu’est ce qu’elle vient faire en politique ?” ou bien “Qu’elle aille donc s’occuper de ses gosses” (…) Bien sûr que c’est violent ».
Elle ne fait plus attention aux critiques
Ségolène ignore désormais les remarques désagréables. Sur Soirmag elle déclare juste « avancer ». L’ancienne député français affirme qu’elle est « complètement blindée » maintenant. Elle l’était « beaucoup moins en 2007 » :
« J’en ai entendu durant la campagne à cette époque, jusque dans mon propre parti, au PS ».
Elle dit à nos confrères si, aujourd’hui encore, la politique est difficile pour les femmes :
« C’est difficile partout, y compris dans les grandes entreprises ».
L’ancienne ministre déplore que :
« Très peu sont gérées par des femmes au plus haut niveau. Le plafond de verre est solide ».
En prenant exemple sur « la photo des conférences des chefs d’États sur le climat », elle affirme :
« Sur 180 personnes, on compte cinq ou six femmes, une minorité ». C’est pour ça que le monde va mal. Car une société heureuse doit être équilibrée, hommes/femmes, biodiversité humaine ».
